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Metamorphoses d’après Ovide, adaptation de Christine Nissim et Gerold Schumann

Nuit des musées
Samedi 14 novembre 2020
musée national de la Renaissance

à partir de 7 ans

Dans le cadre de la Nuit des Musées, reportée suite à la crise sanitaire liée au COVID-19, le Théâtre de la vallée présente à nouveau Metamorphoses, en partenariat avec le musée national de la Renaissance – château d’Écouen.

Interprétation
Nathalie Bastat et Michel Aymard

Mise en scène
Gerold Schumann

Scénographie et costumes
Olivier Bruchet

Lumières
Uwe Backhaus

Création 2008

Le spectacle

Les dieux sont capricieux. Dans leur entourage, on se retrouve transformé en génisse, en dauphin ou en arbre pour un coup de foudre ou de colère : Io, Phaéton ou Dryope, autant de victimes de leurs passions ou de celles de l’Olympe.

De ces divines métamorphoses, l’homme a fait des mythes, et Ovide de la poésie. Si le propos est cruel, la mise en scène démultiplie les rôles, alterne récits et dialogues et rappelle que tout cela est un jeu… Ou presque.

Bande-annonce

LA PRESSE EN PARLE

Cinq contes mythologiques vieux de 2000 ans miraculeusement réinventés par le Théâtre de la vallée.

Le Nouvel Observateur

 

Un jeu fluide, vivant et drôle de deux comédiens. Un spectacle qui réussit à être à la fois à la hauteur des contes mythologiques et à la portée des plus jeunes.

Françoise Sabatier-Morel – Télérama Sortir 

Une version imaginaire de ce que fut notre monde avant que nous n’existions. Une belle manière d’initier les enfants à la complexité des mythes fondateurs.

Dominique Duthuit – Le Figaroscope

 

A l’aide d’une malle, de tissus, et de quelques accessoires, les deux comédiens égrènent ces péripéties avec une belle énergie et fantaisie. (…) formidablement mises en scène par Gerold Schumann.

Caroline Munsch – Pariscope

Ils sont bien turbulents ces dieux grecs, avec leur façon de se tromper les uns les autres, de transgresser les interdits, de se rouler dans la farine. C’est à leur image que deux comédiens se chamaillent sur scène pour savoir qui fait quoi et qui représente qui. Ils maintiennent la tension d’une légende à l’autre, avec la même désinvolture, ce qui permet de traverser avec légèreté ces péripéties complexes.

Henriette Bichonnier – Télérama